L’Écume des jours - Boris Vian

jeudi 19 mai 2016

Auteur:  Boris Vian

Éditeur:  Le Livre de Poche

Date de publication:  13 Mai 1994 (Edition Poche)

Nombre de pages:  335

Ma note: 2.7/5

Synopsis: [Booknode] « L'Ecume des jours : ce titre léger et lumineux annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du XXe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains... »




Mon Avis: 

J’étais d’abord sceptique par rapport à cette lecture puisque c’était une lecture imposé. De plus la couverture ne m'a pas du tout plu. J’ai tout d’abord eu du mal à cerné le genre de ce livre. Mais au fur et à mesure le drôle d’humour présent de ce roman a fini par faire son effet. J’ai commencé à m’imaginer les différentes scènes et même comprendre les personnages. Je trouve que ce livre caricature l’époque à laquelle l’auteur a vécu afin de le critique tout en y intégrant des objets futuristes pour justement se détourner de cette réalité que ne lui plait pas entièrement. J’ai aussi remarqué que ce livre est rempli de sous-entendus et de métaphores ce qui m’a bien plu. Cependant certains sont assez subtiles et donc parfois difficiles à comprendre. Comme pour chacune de mes chroniques je dois choisir un personnage préféré et de loin mon préféré a été la petite souris. Tout d’abord parce que tous les autres protagonistes ont un voire plusieurs traits de caractères que je n’ai pas apprécié, mais aussi parce que j’ai toujours un faible pour les animaux dans les histoires que ont un petit plus qui fait qu’on s’y attache beaucoup plus facilement et qui est attendrissant. En effet, cette petite boule de poils sait être serviable et elle est même très fidèle. Le thème de la mort est assez récurrent dans ce roman, il est traité comme un fait banal qui m’a assez étonnée mais qui est très intéressant. Malheureusement certains décès ont était beaucoup trop absurde pour ma part ce qui a enlever quelque peu le charme de cette particularité.  
La fin de ce roman m’a laissé dubitative, je ne m’y attendais pas du tout. J’espère une fin ou tout s’arrange mais loin de là c’est une fin qui aurait pu me rendre triste mais l’auteur ne cherche pas à émouvoir son lecteur plutôt à lui montrer la dure réalité.


En conclusion, c’était un livre intéressant à lire, mais que je n’aurais pas lu de mon pleins grès et je ne vous le conseille pas puisqu’il est vraiment subtile et assez étrange sur les bords. 





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